Dans l’imaginaire collectif Polynésie signifie rêve.
C'est vrai.
Sont les 21 du 12 avril, le mercredi des cendres.
Je suis venu ici à Huahine avec un très court vol de Tahiti.
A 18 ans, 30, le soleil était déjà couché.
J’arrive à prendre dans un petit aéroport, qui me semble plus grand que ma maison
et m’accompagner dans un terrain de camping dans la petite île.
Parce que l’île de Huahine se compose de 2 îles reliées par un pont. Huahine est le nom du sexe féminin, parce que sa forme se souviendrait : qui appellerait jamais un vagin île ? Je pense que ces polynésiens étaient des années lumière devant nous, quand nous sommes arrivés ici à civiliser eux !
Je ne vois rien sur l’île parce qu’il fait noir, comme il était minuit, et je suis endormie comme s’il était minuit.
Je suis dans ce camp dans l’obscurité totale, que je peux entendre, menaçant de la mer au loin.
C’est comme si je suis de retour au moins 40 ans, quand avec ma famille nous avons utilisé pour passer des vacances dans une tente dans l’épaisseur du terrain de camping.
Je vais mettre quelques photos de Atacama, et soudain je vois une lumière s’allume, c’est la lune !
C’est énorme, la mer !
Les limites sont définies et le camping n’est pas si mal, que même un chat c’est pour me tenir compagnie
Je me rends compte que maintenant que la cabine est presque sur l’eau.
J’ai armo courage et plonger sur la plage sous les palmiers, je vois que les vagues seront réfractent hors tandis qu’ici au rive-est tout placide, j’imagine, il y a un récif de corail, demain je vais regarder dedans
Je suis le seul sur cette plage blanche dans la nuit et aussi vaincre la peur (je suis prêt pour l’instant célèbre de l’île !).
Sommeil a disparu complètement, que vous ne pouvez pas dormir quand vous avez ce spectacle.
Je vois une étoile filante, ou peut-être que c’est juste une espèce de papillon qui se croit une star sous la pleine lune.
J’ai un souhait : ce voyage peut ne jamais finir.
Oui, la Polynésie est le rêve.